Si j'étais la dirigeante d'un pays, ma Leyley serait mon trésor nationnal, zé-ro doute là-dessus. J'observe longuement ses traits avant de m'approcher et embrasser son front affectueusement, comme on le ferait à une soeur.
- T'es friendzo... Voilà qu'un vil kidnapping prend place, je me retrouve dans les bras de p'tite tête blonde. Pour une fois, par miracle, exceptionellement, extraordinairement, je glisse mes bras autours d'elle avant de longuement l'étreindre. Apparament, j'avais tout autant besoin de ce super calin qu'elle puisque je ferme les yeux en gardant mon étreinte serrée autours d'elle.
Je reste silencieuse durant quelques secondes avant de finalement laisser échapper un soupir d'entre mes lèvres fermées (oui, oui, elles peuvent l'être)
- Me tente pas, je le ferais ma belle. Soufflais-je avant de doucement m'extraire de ses bras vachement accueillants. D'autant que ces airs bags aidaient pas mal côté côté confort. De peine et de misère, je tire ma carcasse sur pieds avant de tirer ashleyleyyyy sur pieds. Une fois ce fait, je vais rassembler tranquillement mes affaires et les siennes.
- Je vais devoir me tirer belle gosse. Si t'oses déprimer, je t'envoie mon Ruffus pendant une semaine et je viens camper devant ta porte de chambre pour m'assurer que tu perdes pas ce sourire, capiche amigos ?
Émily Snowden
Ashley Ren
Burning Blondie
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Localisation : Sans doute à l'extérieur du champ de force
Dim 12 Juil - 2:05
Entraînement musclé- Je ne ferai aucun commentaire là-dessus.
Ce genre d’étreinte n’arrivait que très rarement, que très peu même. C’était peut être pour ça que les deux en profitaient en silence et sans bouger. En tout cas, le corps d’Ashley et une bonne partie de ses muscles se détendit. C’était… simplement ce dont elle avait besoin, même si elle ne le montrait pas spécialement. C’était rare. Très rare même.
Etrangement, la blonde savait parfaitement qu’Emily en serait capable. Et si besoin, elle lui donnerait un bon coup de main, avec ces quelques clones. Se feraient-elles maîtriser ? Très certainement, on ne pouvait pas le nier. Même à elles deux, tenir tête à) tout un groupe de militaire serait certainement impossible. Pas avant d’être devenus encore plus surpuissantes que maintenant ! Qu’elles ne l’étaient déjà.
- Je pense que tu ne reverrais pas ton Ruffus avant un bon moment ! Caelis risque de le prendre en otage.
Elle gardait un petit sourire, accompagnant son amie jusqu’à leurs affaires, l’aidant à tout reprendre, à reprendre tout le bordel qui leur appartenait.
- Et je ne doute pas sur ce fait, j’capiche bien, rassure-toi !
Oui, oui, « j’capiche », ça n’existe pas vraiment mais bon.
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