Une école où les élèves sont répartit par duo et doivent cohabiter
 
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Tu sens le gâteau ... je peux te manger un bout ? [PV Cymri]
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Dim 15 Sep - 20:33
Hummmmmmmmm


Aujourd’hui pas cours, en partie parce que Lio restait un apprenti éclaireur, en partie parce qu’il avait sécher le reste de sa journée après avoir détruit la piscine avec une blonde qui avait du prendre autant que lui niveau punition. Enfin bref, aujourd’hui il était supposé être priver d’entrainement. Ce qui ne semble pas être un problème peut le devenir très vite l’air de rien ne pas s’entraîner pendant une période même courte s’était aussi prendre le risque d’un relâchement et quand le corps subit un entrainement aussi pousser que celui qu’on imposait aux éclaireurs ça devenait vite douloureux de reprendre. Bref, s’il n’avait pas le droit de s’entraîner, il allait aller en ville et courir au parc pour ne pas prendre trop cher le lendemain. Du coup, puisqu’il avait prévu ça, le bleu pris une douche, passa un treillis militaire, un haut blanc et sa chaîne bien sur qu’il glissa sous son vêtement et une corde a sautée qu’il mit autour de son cou comme si s’était tout à fait naturel, ça lui éviterait de la portée.

Une casquette, des écouteurs, son portable bien sur et son mp3 pour un petit accompagnement, le bleu enfila ses bouts et s’était parti. Il prit les clés de sa chambre, quitta ses quartiers et sorti de l’école avec une pensée pour son agneau et son sorabricot, il allait falloir les revoir les deux, histoire de rigoler un peu. Bref, il parti tranquillement vers le parc bien décider a trava… hummm une bonne odeur de boulangerie.

Donc après avoir bien manger il s’entraînerais forcement mieux, il s’arrêta, pris un bon pré-déjeuner, puis un déjeuner, parce qu’il ne faut pas sauter un repas. En ressortant, il se sentait prêt à courir, il partit vers le parc prêt à s’entraîner maintenant que son estomac était bien plein. Il reprit son chemin et en arrivant au parc il commença par une petite séance de pompe.

-1.2.3.4…12.13.14.15... 56 …


Suivit d’une séance de corde a sauté, avec dans ses oreilles une musique inspirante, il s’entraînait d’ailleurs à ça quand il senti une odeur qui le perturba lui faisant manquer un saut. S’en suivit la chose la plus naturelle au monde, le bleu quitta son point d’entrainement le nez en avant la poursuite de ce qui lui semblait être l’odeur parfaite d’une merveilleuse tarte aux pommes sortant du four. La sensation qui le traversait était étrange, bien sur il y avait l’envie, le besoin de se rapprocher de la bonne nourriture mais aussi la nostalgie de cette délicieuse odeur. Peut être était ce du a un souvenir de son enfance, sa maman était bonne cuisinière après tout… il faudrait qu’il songe à aller rendre visite a ses parents bientôt mais ça serait en soldat diplômer et fier éclaireur, pas en étudiant puni pour ses bêtises, il les voulait fières !

Bref ! Là il suivait une odeur délicieuse esquivant les hommes et femmes sur son chemin comme s’ils n’avaient pas été là.

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Dim 15 Sep - 21:57
Avec mon collègue, je parcourais les rues de la ville. Je les connaissais encore un peu mal, il fallait dire qu'un en mois, ce n'était pas moi qui saurait dire avec certitude où était quoi. Un mois. Depuis que je m'étais fait virer de l'autre ville, je me tenais plus ou moins à carreau et j'essayais surtout de ne pas tomber sur des jeunes riches tellement stupides qu'on pourrait utiliser leurs boîtes crâniennes comme récipients. Parce que le cerveau avait fondu. Bref, je découvrais, c'était sympa et jusqu'à présent, je m'entendais bien avec les autres sentinelles. De loin. Je ne connaissais pas leurs secrets, ils ne connaissaient pas les miens.

Bref, nous faisions donc le tour du quartier bourgeois ( note à moi-même, l'éviter le plus possible ) et il y avait pas mal de monde dans les rues. Les mains dans les poches de mon pantalon militaire dans une posture presque nonchalante, je marchais juste un pas derrière mon collègue qui ne cessait de babiller sur le coin comme s'il l'adorait. Génial... Il y avait un soleil monstre en plus, je m'étais donc collé ma casquette militaire et ma veste était ouverte sur mon débardeur blanc. Je n'avais pas chaud, pas avec mon pouvoir mais je devais faire semblant d'être comme tout le monde. Maman n'aimait jamais que je me fasse remarquer.

Une petite faim me faisait jouer avec un sachet de madeleines et de financiers que j'avais fait la veille. Avec mon solide appétit, j'étais obligé de cuisiner sinon, je mourrais de faim après deux semaines. J'avais appris à me gérer et à manger bourratif. Mais de temps en temps, je faisais plus léger. Sauf que transporter une crème de lait sur soi, c'était pas une bonne idée. Dommage, elle allait me manquer. Plus que la personne qui était en train de nous tracer depuis au moins bien dix minutes maintenant. Personne que mon collègue remarqua enfin. Le naze...

-J'ai senti ça oui...

Bien que je ne voyais pas pourquoi on nous suivrait sans nous interpeller. Nous étions là pour aider la population. Je m'arrêtai pour faire face à un garçon aux cheveux bleus comme moi et qui avait eu l'intelligence de mettre une casquette. Tenue militaire pour lui aussi. Il devait être encore à l'académie cela dit et... une corde à sauter autour du cou. Bien... Soit... Je souris parce qu'il paraissait sympathique dans tous les cas et je fis un clin d’œil.

-Salut toi. Qu'est-ce que tu nous veux ?

Comme il n'avait pas l'air blessé ou quoi... Il ne dégageait même pas une odeur fantôme de sang. J'ouvrais et je refermais le sachet de gâteaux dans ma poche. Il fallait que je récupère un café crème au premier endroit disponible.

-Les Sentinelles Stelio et Grant peuvent assurément t'aider.
Sauf que ce gamin n'a pas d'ennui.

Et quoi, c'était écrit sur son visage ?

-Bon alors juste la Sentinelle Stelio faut croire. Grant a envie de faire la gueule. Raconte-moi tout, je ferai ton bonheur. Ou pas, ça dépend de ma forme !

Le tout avec un sourire et même un rire joyeux. Et plus je regardais le plus jeune, plus j'avais une impression de déjà-vu. Je n'arrivais pas à comprendre et je me mis sur le côté comme nous empêchions les gens de circuler selon leur bon vouloir. Je vérifiais que mes diamants tenaient bien sous mon œil par habitude, des miettes de gâteaux sous les ongles. Il fallait que j'arrête de les triturer les pauvres. Et du coup, je suçais mes doigts... Rien à faire d'avoir l'air d'un pervers. Avec mes oreilles de chien et la queue, ça devait déjà être le cas dans la tête de beaucoup de monde.
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Dim 15 Sep - 22:52
Miam !


Il avait fallu un petit moment pour que l’odeur s’arrête de bouger, elle était bien fuyante cette tarte aux pommes, du coup le bleu avait continuer à zigzaguer entre les gens pour finir enfin par la sentir plus forte, il n’avait en aucun cas rechercher la discrétion ou le silence, bien au contraire, il avait suivi cette odeur et petit a petit elle l’avait énervée a s’éloignée sans même l’attendre. Il voulait gouter un petit bout, elle pouvait au moins faire ça à sentir aussi bon.

Lorsqu’enfin il toucha au but, que l’odeur cessa de s’éloigner et qu’il rouvrit les yeux, ce fut sur un grand bleu, un peu comme lui si on laissait de coté ses yeux rouges. Clairement il n’avait pas de tarte aux pommes fraiche sur lui et même en le reniflant il ne pourrait pas en cacher mais il avait cette bonne et douce odeur qui flottait autour de lui … Tiens, jolie queue de toutou mais …

-Tricheur …

Vêtements militaires, promenade en ville, même pas besoin qu’il lui dise pour que Lio comprenne qu’il s’agissait d’une sentinelle, la milice ne portait presque jamais d’habits militaires, les gardiens étaient toujours du coté de la barrière quand aux éclaireurs, soit ils s’entrainaient, soit ils étaient de sorti. Du coup il observa le bonhomme qui lui demandait ce qu’il voulait comme s’il était un enfant. Soit, il allait faire l’enfant.

-Les madeleines et les financiers suffiront à couvrir la trahison de l’absence de tarte aux pommes bien chaude.

Stélio … drôle de nom. Le bleu faillit balancer une flèche glacée directement sur le partenaire de « Stélio » mais il n’en fit rien, il se ferait vraiment virer pour avoir fait ça et il voulait devenir un éclaireur, trouver quelques indices et se rendre compte que si on ne l’avait pas cherché s’était parce qu’il ne venait de nulle part puis reprendre sa vie avec ses parents adoptifs !

-A première vu la forme est bien capable d’apporté le bonheur effectivement.

Bah quoi, ça sentait bon le gâteau et en plus ça se proposait de mettre sa forme au service de son bonheur, bien sur qu’il allait lui répondre en flirtant, s’était absolument naturel, encore plus alors qu’il avait clairement des gâteaux dans les poches. Le bleu et un immense sourire, mis dragueur mis rieur en observant son vis-à-vis, rien à redire, le bleu était vraiment bien fait.

-Si le goût égale l’odeur j’ai hâte d’en profiter.



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Lun 16 Sep - 17:57
Tricheur ? Plait-il ? Je ne connaissais pas le gamin, enfin gamin, il devait quand même avoir dans la vingtaine, non ? Bref, et je me faisais traiter de menteur. Qu'est-ce que c'était que ce regard d'ailleurs ? Et puis, c'était moi où il était en train de me renifler ?! Bien sûr, ça restait charmant quelque part puisque je faisais exprès de sentir aussi bon mais ce n'était pas tous les jours que l'on me sentait de manière aussi visible.

Qu'est-ce qu'il raconte celui-là ?
-Aucune idée...

Bonne question, je ne comprenais pas du tout moi non plus. Cependant, j'observai soigneusement pour me rappeler plus tard de ce jeune homme. S'il était bien un futur militaire, il fallait que je puisse le reconnaître. Toujours savoir qui était un allié, y'en avait pas tant que ça dans ce monde. A peine plus petit que moi et des yeux turquoises qui me rappelaient des souvenirs douloureux. Cela me poussa à sourire encore plus quand il continua sur une réplique un peu choquante quand même.

-Tu as le nez fin, ma parole ! Mais je n'ai aucune raison de te donner mes collations faites maison.

Même si je sortis le pochon en plastique pour qu'il ait au moins l'honneur de voir mes créations. Bon, un peu écrasées pour certaines, il me fallait une besace mais je n'en avais pas encore trouvé une qui me plaisait suffisamment pour investir. Déjà que mon déménagement n'avait pas été donné... J'agitai donc gentiment et finit par sortir une madeleine pour le jeune homme. Je me voyais mal ne pas le nourrir sans bien que je sache pourquoi.

-Tiens, pour avoir deviné quand même. Donc, c'est à cause de mon odeur naturelle que tu nous as poursuivi de la sorte ?
Tu attires les gamins pour les mettre dans ta camionnette, Cymri ?
-Ah, ah ! T'es juste jaloux, Olive. Continue la ronde, j'arrive.

Parce que s'il continuait comme ça, mon collègue allait l'énerver et moi avec. Olivier s'éloigna donc en grommelant, clairement irrité que je ne sois plus là pour écouter ses histoires à la noix et je me concentrai sur le bleu devant moi. Il avait aussi l'art du compliment et je ris encore tout en mordillant dans un financier. Mince ! Je n'étais pas censé les manger maintenant ! Je les rangeai dans ma poche avant de tous les engloutir, j'étais parti pour.

Mon bout de financier de la main, le reste dans la bouche, je mâchai tout en cherchant comment répondre à ce drôle d'énergumène. Surtout quand il rajouta une couche. Mais si c'était pour avoir mes gâteaux, il n'y arriverait pas.

-Puis-je savoir ton nom, beau charmeur ? J'apprécie tes compliments d'ailleurs.

Mais je n'allais pas dire que j'avais le goût de la tarte aux pommes. Il me croquerait un bout. Ou en tout cas, il donnait cette impression. Je tapotai mon bout de financier contre mes lèvres avant de mordre, mâcher, avaler. Déjà plus rien. Il fallait que je résiste à la tentation.

-Comme tu as l'air d'aimer ma cuisine. J'ai failli en être un mais...

Rien. J'avais raté la carrière d'éclaireur, point. J'avais quand même fait de mon mieux mais on luttait difficilement contre sa nature. Je doutais que mon frangin me pardonne d'être paresseux cela dit.

-Tu es encore à l'académie, non ?

Je l'invitai à marcher avec moi jusqu'à un banc à l'ombre. Je m'y installai comme un gros tas alors que je n'étais même pas fatigué. C'était juste comme ça.

-Éclaireur, je parie, vu comment tu es taillé. Tu es un sacré beau gosse.
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Lun 16 Sep - 18:34
Miam !


Hum mais c’est qu’il commençait à être énervant l’autre, le bleu songeait clairement à lui remettre les idées en place, avec une envie plus que prononcée de lui geler la langue…. Techniquement, difficile de li viré si personne ne pouvait prouver qu’il était coupable, après tout, la cryokinésie n’était pas un art pratiqué que par le soldat même s’il pourrait trouver ça amusant, l’autre pourrait accuser, si un jour il arrivait à sauver sa langue, mais rien prouver.

-Normalement quand on fait de la tromperie sur marchandise on paie et puisque ton « odeur naturelle » ne l’est pas, tu dois payer une compensation, les madeleines et les financiers suffiront.

Ouai, l’autre allait perdre un bout. Même si une part de Lio restait subjuguée par la belle personne qui lui faisait fasse et surtout le sachet qu’il sortait de sa poche… il détourna légèrement les yeux pour les poser sur le compagnon d’arme avec un air désabuser.

-Qui est l’enfant ici, j’ai vu votre nom sur nos registres, vous avez essayer plusieurs fois d’entrer chez les éclaireurs mais vous avez raté chaque fois. Monsieur Grant.


Oui, il était moqueur, il ne l’envoyait pas chier même si ses yeux disaient cela sa voix restait quand même sur un ton particulièrement jovial. Le bleu pris volontiers le gâteau tendu par le soldat le plus gentil et l’enfourna comme si ça avait été une gélule, s’était bien trop petit pour l’occuper, il lui avait donner faim maintenant !

-Cymri.


Tiens, l’étrange sensation était là à nouveau, serais ce ça l’amour ? ressentir la bonne odeur d’une tarte aux pommes et rencontré un mec canon qui en plus annonce savoir cuisiner et provoque une sensation plaisante dans le ventre ?

-Lio.

Il n’avait aucune raison de cacher son identité, il n’avait encore attaqué personne et ça ne devrais pas poser de réels problèmes.

-Lio Galen.

Le financier qu’il faisait tapoter contre sa bouche donnait tout autant envie au bleu qui réfléchissait a l’idée de le voler au moment ou le beau bleu le dévora… toute une déception … tant pis ne restait qu’à essayer de piqué les autres et…. Ah il avait parlé.

-Je sais.

En vrai il n’avait écouté que la fin de la phrase, oui il savait qu’il était beau, pas qu’il soit particulièrement vantard mais avec tout ce qu’il faisait comme entrainement il pouvait au moins ce permettre ça merde.

-T’es pas mal non plus.


Quand il ne prenait pas cette posture… on le croirais prêt à mourir de fatigue.

-N’est ce pas un peu dangereux pour un gardien de se rendre traçable par son odeur comme tu le fais ?

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Mar 17 Sep - 16:34
-Mon odeur naturelle n'a rien d'une tromperie !

Alors là, comment osait-il ? Elle était parfaite mon odeur de tarte aux pommes, et il n'y avait aucun défaut dans la superbe marchandise que j'étais ! En plus, il avait vraiment l'air de penser que j'allais lui donner tous mes gâteaux juste parce qu'il les réclamait. Où avait-il vu ça ? Je n'étais obligé de rien du tout, c'était lui qui m'avait suivi à la trace, je n'avais rien demandé. Même si c'était toujours agréable de rencontrer du monde et des beaux gosses encore plus. Je m'interrogeai... Devrais-je l'inviter à dîner et dans mon lit ? Je parierai qu'il ne dirait pas non. Allez, sage, Cymri. Sage...

Quoi ? Va te faire voir, le mioche !!

Ajouta Olivier avant de se barrer. J'attendis qu'il soit bien loin pour dire au bleu devant moi.

-Pas très sympa, moi aussi, on m'a réorienté.

Mais moi, j'avais appris à le prendre à la rigolade, ou presque. Et c'était moi ou il venait de gober mon gâteau ? En savait-il donc le goût du coup ? J'aurais pu me vexer mais bon, tant qu'il ne parlait plus de mon physique, ça irait en fait. Et puis il répéta mon prénom. Eh bien quoi ? Je supposais que ce n'était pas banal mais je l'aimais bien mon prénom, même si je ne savais pas bien à quoi avait pensé mon vieux en m'appelant comme ça. Et ce n'était plus maintenant que je pourrais lui poser la question. J'hochai la tête.

-Enchanté dans ce cas, Lio Galen, futur Eclaireur. Quand tu auras ton diplôme, j'aurais un service à te demander. On arriverait sûrement à trouver un accord.

Arrogant tout de même le bonhomme, pas de merci juste un "je sais", genre c'était la norme qu'on le trouve beau. Je faillis rire encore alors donc que je m'abandonnai sur le banc. Tant pis, on allait manger mes pâtisseries et je trouverai le moyen de rentrer vite fait faire un fondant au chocolat ou quoi. Comme j'achetais en masse, j'avais des prix... Heureusement pour mon métabolisme, puisque j'utilisais du vent en permanence.

Je sortis donc de nouveau la pochette de financiers et de madeleines et je la mis entre nous deux en piochant dedans pour manger une madeleine à mon tour. Je le remerciai de me trouver à son goût et je levai un sourcil à sa question. Quoi ? Et j'explosais de rire !

-C'est bien la première fois qu'on me trace à cause de mon odeur !

Sans déconner en plus.

-Au contraire, comme je ne sens pas l'humain, je passe inaperçu même pour les animaux les trois quart du temps. Et ça marche aussi bien sur les monstres. Donc non, à part pour les gourmands dans ton genre, je ne suis pas traçable.

C'était moi ou le paquet de gâteaux descendait vite ? J'avais l'impression d'avoir un affamé à côté de moi. Je l'observai encore, plutôt troublé mine de rien. Il semblait avoir le menton de ma vieille. Le truc improbable. Je réussis à manger encore trois financiers et deux madeleines. Sur la trentaine... Je posai les yeux sur le sachet.

-Tu n'as pas pris la voie facile, donc. Pourquoi éclaireur ?

Je saluai les passants qui nous saluaient. Probablement qu'ils se demandaient si Lio avait fait une connerie. Mis à part m'affamer pour dans l'après-midi, non, je dirais. Ou j'exagérais ?

-Tu veux entendre mon deal maintenant ?
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Mar 17 Sep - 17:30
Miam !


-Elle n’a rien de naturelle, personne ne sent naturellement la tarte au pomme qui sort du four avec un pointe de cannelle et deux de vanille.

Tiens… comment il pouvait savoir ça …. Pourquoi il avait mal au ventre ? S’était si rare pour lui d’être malade, est ce qu’il n’aurait pas assez manger ? ou peut être était ce son début d’entrainement qui l’avait un peu retourné… il allait combler ça par plus de petits gâteaux dès qu’il les aurait voler. Et voilà que l’autre s’en allait en râlant.

-J’ai pas dis que je l’étais.


Qui aurait envie d’être sympas avec un type qui vous traite comme si vous étiez un bébé alors que vous êtes un de ceux qui protégeront ses fesses et celles des autres.

-Et puis s’il était malin il saurait qu’il n’existe pas ce registre… et s’il existe il n’est certainement pas visible par les aspirants.

Voir pire, qui voudrais être gentil avec un mec moche, et méchant. Moche tout seul ok parce que parfois la personnalité pouvait rendre attirant ne serais ce que ça mais lui clairement c’était une tête a claque.

-Éclaireur n’est pas fait pour tout le monde et puis, je n’aurais pas eu le plaisir de te rencontrer si tu l’avais été tu aurais souvent été ailleurs.

Deux poids, deux mesures. Lui il pouvait voir que Lio pouvait être adorable, un sourire aux lèvres, une voix douce et plein de mots gentils. Et surtout lui il avait pleins de bons gâteaux, bah oui, même s’il les gobait presque il en appréciait le gout écrasant sur sa langue une partie avant que le reste s’enfonce dans sa gorge.

-Tout se paie dans ce monde comme dans les autres.

Bah quoi, il n’allait pas gentiment rendre service sans avoir lui-même reçu une petite compensation, après, le paiement dépendrait de la faveur, si c’était un truc super court, un baiser suffirait pour tout le reste, il y a le lit, les hôtels, les cuisines ! là tout de suite ce qui intéressait le bleu s’était le son ! La sentinelle venait de sortir les gâteaux et de les mettre entre eux. Du coup Lio piquait les brioches si vite qu’on pourrait penser qu’il les téléportait directement dans son ventre.

-Étrange, s’était pourtant facile à faire, tu sens bon.

Hum, tiens d’ailleurs il avait peut-être faim, la boule dans son ventre avait un peu diminuer maintenant.

-Ils devraient, elle a l’air bonne la tarte dont tu t’inspires pour trafiquer ton odeur.


Non, il ne douterait pas, pas une seconde que cela pourrait être la véritable odeur de Cymri, elle était beaucoup trop parfaite pour lui, il sentait presque le gout de la compote maison revenue avec une petite cuillère a café de café liquide extrait d’un bon café a grain … Son nez devenait plus faim avec le temps, il n’avait jamais pu dire si précisément de quoi était faite une tarte aux pommes sans la goûter.

-Je veux savoir d’où je viens pour voir ou je vais.

Non, ça n’était pas un secret pour lui, il avait été trouver il voulait connaitre son origine, comprendre pourquoi on l’avait laissé tout seul en forêt, pourquoi on ne voulait plus de lui ou juste… juste découvrir qu’il n’avait plus de famille. La dernière ! il mangeait la dernière madeleine.

-Dis moi tout, je te donnerais mon prix.



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Mer 18 Sep - 16:45
C'était précis ma foi. Comment faisait-il pour être aussi précis à ce sujet ! C'était plus qu'avoir le nez fin ! Il devait être absolument accro à la nourriture pour pouvoir si bien déceler les notes de mon odeur. C'était fou mais impressionnant, il serait capable de suivre un ennemi à la trace à l'occasion. Enfin, s'il voulait utiliser ce don à cet escient. Et puis j'éclatai de rire. C'était un petit malin aussi. Vraiment, c'était quelque chose de rencontrer un tel bonhomme. J'allais le garder. Et puis, l'imaginer nu entre mes draps, miam. Il devait bien être majeur, hein ? Je pourrais en manger un peu sans que cela ne finisse mal, j'en étais sûr.

-Oh, je me suis fait à l'idée, je te rassure. Je n'ai pas honte de ce que je suis, j'ai juste déçu ma mère. Oh, je me suis un peu déçu aussi mais je cherche toujours à me débrouiller.

Quant au paiement, ça m'aurait étonné qu'il veuille me faire crédit, ce petit. Lio avait plutôt l'air du genre à prendre tout ce qu'il pouvait prendre. Comme mes gâteaux. Vraiment, je n'avais jamais vu personne manger aussi vite à part moi. Et sa fixette sur mon odeur restait vraiment amusante. Bien sûr que je sentais bon ! C'était fait pour ! Par contre...

-Je ne trafique pas mon odeur !

En avait-il fini avec cette accusation ? Pensait-il vraiment que je saurais garder cette odeur pendant aussi longtemps si je ne la possédais pas un peu moi-même ? J'avais tellement manger de la tarte aux pommes de ma vieille et j'en étais imprégné. A une époque, je n'avais plus accepté de manger autre chose. Ça avait été une période un peu sombre, mais je m'en étais remis.

D'où il venait ? Comment ne pourrait-il pas le savoir ? J'ôtai ma casquette pour passer mes doigts entres mes oreilles de chien, dérangeant un peu mes mèches bleues par la même occasion. J'en pris une tout en l'observant, nous avions quasiment la même couleur de cheveux, vraiment. Mais on n'avait cessé de me dire qu'il était sûrement mort. Sauf que j'avais besoin de voir son corps pour y croire. On n'avait pas retrouvé celui du vieux et franchement, je m'en moquais mais mon petit frère, jamais. Je voulais une preuve. Et j'attrapai le dernier financier.

-A mon avis, tu viens quand même de gens bien même si tu es un orphelin... De ce que tu laisses entendre. Tu as une famille adoptive ?

Forcément, la question se posait. Ou je n'avais rien compris à son discours. Je sortis un mouchoir de ma poche pour nettoyer ma main graisseuse, non non, elle n'était pas allée dans mes cheveux et je posai ma casquette sur le sachet vide pour l'empêcher de s'envoler. Il y avait encore des miettes à l'intérieur mais j'avais le dernier financier que je ne mangeai pas tout de suite. Je voulais le savourer puisque c'était justement le dernier.

-Eh bien... Je cherche mon petit frère. Tout le monde même ma vieille pense qu'il est mort mais j'arrive pas à y croire.

Je soupirai et mordis dans le gâteau, me léchant les lèvres pour avoir les miettes. Je ne voulais rien gâcher.

-Je suis quasi sûr que s'il est vivant, il a forcément les cheveux bleus, comme nous deux. Et s'il n'a pas été idiot, il a toujours la chaîne en argent. En fait, c'était la mienne mais il n'arrêtait pas de me la piquer. Donc... Il l'a.

Il avait intérêt à l'avoir. Je terminai le financier, les yeux sur le ciel pendant plusieurs longues secondes. Je n'étais pas en deuil et j'avais mon sourire. J'avais promis de le garder. Je revins donc à Lio.

-Il s'appelle Cyanio Stelio. Alors... Si tu peux le trouver... Je te paierai en nourriture.

Vu comme il aimait manger, ça devrait le faire, non ? Je pourrais le payer en sexe mais... Pas de mais, ce serait sûrement satisfaisant aussi.
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Mer 18 Sep - 22:16
Miam !


Bien sur qu’il était malin, en même temps s’était l’autre qui avait commencé par l’insulté, il n’était pas un gamin, il serait bientôt diplômé, plus que quelques années à souffrir de l’entrainement et il deviendrait éclaireur, et ça serais probablement pire ! d’abord. Bon, en vrai il n’en souffrait plus vraiment de son entrainement, il s’y était fait à force et s’y mettait plus facilement maintenant.

-Il n’y a pas de quoi, de ce que j’en sais, peu de gens sont acceptés dans es rangs des éclaireurs.

Ça avait été dur d’y entré mais bon, il fallait ce qu’il fallait.

Personne ne sent la tarte aux pommes avec une pincer de cannelle, deux de vanille et une cuillère de café dans la compote maison naturellement.

Bien sûr qu’il la trafiquait son odeur mais puisqu’il avait décider de ne pas le reconnaitre… soit, il n’allait pas lutter d’avantage, ils savaient tout les deux que s’était faux et puis c’est tout. En plus, là tout de suite, il dévoilait autre chose qui fit sourire Lio, rien d’étonnant au fait qu’il ne soit pas éclaireur, il portait des trucs qui devaient bien le ralentir pour le coup.

-Peut être.

Comment savoir sans chercher, et puis, quand bien même il viendrait d’une famille d’assassin célèbre, il avait besoin d’être sûr, de pouvoir se fixer sur une réponse, une seule.

-Je sais pas on m’a trouver a six ans, en théorie personne n’en est sûr.


Ah il venait de prendre le dernier financier, le bleu suivait la pâtisserie des yeux, ayant balancer sa bombe tout naturellement, il ne se concentrait pas assez pour donner une réponse plus grande que :

-ouai…

Quand on lui demandait s’il avait une famille adoptive.

-Ton petit frère.


Il mangeait le dernier ce vilain, il n’avait pas le droit, c’était son financier ok, mais quand même, Lio l’avait voulu en premier nah.

-Il est mort comment ?

Parce que chercher ok pourquoi pas… mais lui ramener tous les cadavres qu’il pourrait trouver sur son chemin, ça risquait d’être long…. Très long, trop long. Le bleu observait le dernier morceau de gâteau qui disparaissait dans la bouche de son vis-à-vis alors qu’il parlait. Pour cet affront, il lui devrait une bonne pipe au minimum pendant leur première expédition sous les draps. Il regardait le sachet a gâteau avec une moue tristounette.

-Une chaine en argent, hinh…hin ?

Il venait de réattirer son attention là, le bleu leva la tête brusquement vers les yeux de son vis-à-vis faisait tressaillir légèrement la chaine sous son haut.

-Cyanio.

Non, même ça, ça ne lui disait rien, pourtant, il avait une chaine, des cheveux bleus et il ne connaissait pas son passé, ça pourrait lui plaire de retrouver une trace de lui, quelqu’un qui le cherchait mais … pourquoi l’avoir laissé seul en forêt pour le chercher ensuite ? encore plus, pourquoi continuer à le chercher si ses propres parents se fichaient qu’il soit mort en forêt ?

-Pas besoin de chercher je sais ou elle est la chaine ….

Lio sorti ladite chaine de sous son haut avec tout le calme du monde montrant presque moins d’émotions que pour les madeleines et les financiers. Il y gagnais quoi a ça ?


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Jeu 19 Sep - 14:12
A six ans ? C'était moi ou ça commençait à faire beaucoup ? Cyanio n'avait pas eu exactement les yeux bleus à six ans, il oscillait encore entre le vert et le bleu d'où le fait que je n'étais pas certain de la couleur à indiquer quant à ses prunelles. En plus, Lio confirmait avoir été adopté et là, je me sentais comme... dans l'expectative. Cependant, je m'empêchais d'espérer parce que quand même, je ne savais pas comment je prendrais une déception. Après tout, après tant de recherches comme je pouvais et tant d'efforts pour un paresseux comme moi... Bref, je m'efforçai de bien faire les choses.

-S'il est mort... Eh bien, notre tebé de père voulait l'emmener voir sa sœur dans une ville voisine. Il était persuadé que mon petit frère pourrait maîtriser la glace comme lui mais au lieu d'attendre, il voulait la confirmation au plus vite. Il avait été déçu par moi, comme je n'avais pas du tout montrer de pouvoir même avant leur départ.

C'était peut-être pour ça que je me sentais un peu fautif. Bien que vu que je maîtrisais l'air, le paternel n'aurait pas été satisfait de mes dons, peu importe combien il aimait ma vieille. Je soupirai avant de reprendre mon histoire.

-En plus, je suis tombé malade, je n'ai pas pu les accompagner. Ils ont été attaqué par des monstres et si le vieux est mort, il semble que mon frérot ait réussi à s'enfuir. Il était débrouillard, je ne peux pas croire qu'il se soit fait avoir.

Oui, une chaîne en argent. La mienne en fait. Je n'avais jamais saisi la fascination de Cyanio pour mon collier, pas du tout même. Mais comme je ne pouvais partir avec eux, je le lui avais cédé. Il était censé me le rendre. Bien qu'après toutes ces années, je ne pensais pas le lui reprendre en fait. Je voulais juste un petit frère entier à câliner comme avant cette fichue décision d'un vieux stupide. Et puis Lio affirma savoir où était la chaîne qu'il sortit de sous son tee-shirt.

J'eus comme un blanc.

Je tendis la main pour effleurer ses doigts et la chaîne en même temps. A la vibration, je sus que c'était bien la mienne. Mon cerveau avait cessé de fonctionner en partie. Je continuai à toucher, vraiment choqué. Quelle était la probabilité que je tombe sur mon petit frère comme ça, lors d'une ronde dans cette ville où je n'avais pas prévu de finir.

-Cyanio...

Sans lui demander son avis, je l'attirai contre moi et je le serrai fort. Bordel, mon petit frère, mon petit frère à moi. Je n'allais plus le lâcher, jamais. La vieille n'allait pas s'en remettre, son instinct maternel lui avait fait défaut mais pas le mien, j'avais eu raison d'y croire ! Dans les dents la mère !

-T'es bien vivant, c'est trop génial...

Merde, ma voix était un peu cassée là. Je respirai un peu vite aussi et... Ah ben si, je pleurai déjà de joie. Bon, tant pis pour la figure du grand frère fort. De toute façon, je doutais que Cyanio... Non, Lio avait besoin de ça. Je rigolai dans mes larmes, je devais avoir l'air d'un taré mais rien à cirer. Mon frangin était en vie. C'était tout ce que je voulais. Après, s'il ne voulait pas de moi dans sa vie, je comprendrai, j'avais échoué à le trouver plus vite mais au moins, je saurais qu'il allait bien.

-Je suis trop content là. Ça va ?

Je desserrai un peu mon étreinte. Il ne devait pas être ravi d'être utilisé comme doudou ? J'essuyai mes larmes d'un revers de main, tout sourire. Maintenant, j'avais de bonnes raisons de le garder ce sourire.

-Désolé... On était très câlins alors... Mais tu m'as oublié alors... Désolé...

Lio allait m'en mettre une ?
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Jeu 19 Sep - 14:53
tarte aux pommes *p*  


Tiens, donc l’histoire avait une suite. A priori Cymri avait pas mal de soucis avec son père, l’indice subtil qu’il faisait apparaitre dans son appellation laissait supposer que leur relation n’avait rien de plaisante. Par contre, a priori, les dons de Lio lui viendraient donc de son père… vraiment ? alors il avait bien un vrai père et une vraie mère. Quelque part s’était à la fois plaisant et décevant, il aurait put être le fuit d’une création démoniaque, s’aurait été super cool, mais bon, avoir de vrais parents, ça n’avait pas l’air si mal au fond, même si les siens resteraient toujours ceux qui lui avaient donner un toit.

-Donc, ton père est mort.

Il était sûr de ça mais pas de son frère, étrange… enfin, quelque part non, de ce qu’il en savait la plupart des enfants survivaient à la forêt, pour une raison sans doute. Enfin bon, s’il avait eu un deuxième papa alors, il était mort. Bah, peu importe son papa était cool, il lui apprenait des trucs sur les soldats et ils se faisaient des batailles pour voler la tarte que la mère laissait refroidir. S’était marrant à voir en vrai et à faire encore plus.  

-Et maintenant tu as le pouvoir de trafiqué ton odeur.

Bon en fait non, il ne lâcherait pas l’affaire, personne ne sentait aussi bon !

-Non, Lio.

Comme s’il allait changer son nom, il s’y était fait en plus … Cyanio s’était moche. Par contre le câlin le tendit, pas qu’il n’aime pas ça en général, s’était même lui qui en prenait à toutes ses proies, ça et des baisés mais … là s’était pas pareil. Oh ! il n’allait pas pouvoir le dévorer tout nu sous une couche de glaçage a la pistache avec tout ça, le bleu était son frère… Lui qui pensait avoir l’estomac solide eut une légère nausée là, dieu merci il n’avait pas encore tripoté… même si son frère était canon en théorie ils étaient de la même … famille ?

-J’ai un peu faim.

A part ça, il se faisait faire assez de câlin pour presque tous les supporté. Le bleu balaya son vis-à-vis de haut en bas, alors, il avait bien une famille quelque part, et elle le croyait mort… et lui il le cherchait… il le cherchait ? qu’est ce qu’il faisait dans cette ville ? il avait trouvé une trace ? non, il ne lui aurait pas demander de chercher si ça avait été le cas. Peut être avait il renoncer, mais si ça avait été le cas, pourquoi est ce qu’il lui demandait de chercher.

-J’aime les câlins.

En général, même si en général justement, ils étaient donnés par lui a des personnes qui finiraient dans son lit a un moment ou un autre.

-Je ne me souviens de rien avant d’avoir été trouver.


Autant évité qu’il se sente blesser qu’il ne se souvienne pas de lui, même avec beaucoup d’efforts et d’essaies, le bleu n’arrivait même pas à revoir le visage de sa maman, ou a se souvenir avoir eut un frère. Il en était même venu a pensé être un démon remonté des tréfonds des enfers pour dévaliser toutes les friandises de cette planète. Il pris un mouchoir dans sa poche et le tendit a Cymri.

-J’ai donc d’autres parents.


D’autre oui, les siens seraient probablement toujours ceux qui l’avaient adoptés et dressés.

-Et un grand frère canon….

Bon présage pour l’avenir.

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Sam 21 Sep - 21:03
Cyanio prenait tout cela avec plus de calme. Ou plus de choc, difficile à dire. Je ne savais plus lire mon petit frère. A cette époque, il ne me cachait absolument rien, j'étais son journal intime même. Et je n'avais jamais trahi sa confiance, même alors que notre mère avait voulu que je parle de lui après le drame. Peut-être que ça reviendrait mais en attendant, je devais me faire à cette distance. Cela ne pouvait plus être exactement comme avant. Nous avions grandi, il avait bien grandi. Et il était semble-t-il capable d'avoir le rang militaire que je n'aurais pas. Ben dis donc...

-Ouais, il est mort. Et je ne trafique pas mon odeur ! Je la renforce !

C'était moi ou il faisait une véritable fixette sur le sujet ? En tout cas, il était clair qu'il ne voulait pas de son ancien prénom. Je comprenais avec plus de dix ans à répondre à un autre. J'hochai la tête pour montrer que j'acceptais la chose bien que ma langue risquait de fourcher quelquefois. Je le lui dis d'ailleurs, qu'il ne se vexe pas à l'occasion, ce serait un peu stupide. Je ne reniais pas du tout sa nouvelle identité.

Et donc, alors que je le relâchai légèrement, Lio me disait avoir faim. Encore. Étrangement, je n'étais pas étonné, c'était de famille, même notre vieille mangeait beaucoup. Je lui tapotai l'épaule en riant un peu même si je le trouvais un peu laconique dans ses réponses. Peut-être qu'il trouvait que j'étais suffisamment joyeux pour deux. Je pris le mouchoir qu'il me tendit pour bien me sécher et me mouchai pour ne pas me mettre à renifler bêtement.

-Merci. Je suppose que tu as pris un coup sur la tête. Ou que le choc de l'attaque et de la mort du vieux t'a tout fait oublier. Je ne t'en veux pas, je te rassure.

Ça aurait simplement permis qu'on le retrouve plus tôt. Je sortis mon portable pour envoyer un message à notre mère. Il valait mieux qu'elle sache au plus vite. J'aurais plus l'appeler mais sa voix me faisait mal aux oreilles au téléphone, elle sortait trop aiguë.

-Voilà, je l'ai prévenue. Elle essaiera sans doute de nous rejoindre pour te voir. Je la préparerai à ça, sinon, elle risque d'être envahissante avec toi.

Et je fis un clin d'oeil à Lio.

-Bien sûr que je suis canon !

Et j'écarquillai les yeux de choc deux secondes. Ouah, j'avais pensé à coucher avec mon petit frère. Pouah... Je comprenais la logique derrière ça mais pouah, pas question, jamais ! De sexe, hein. Dormir dans le même lit, ça n'aurait rien de choquant. En plus, les militaires se voyaient à poil pendant les bains donc de ce côté là aussi... Bref, je n'allais pas m'attarder sur la chose parce que quand même... J'eus un vilain frisson et me levai.

-Allons prendre un bon déjeuner pour fêter ça ! Je préviens mon responsable et on y va, OK ?

J'étais quasi sûr que ma proposition ferait son bonheur alors que je contactai mon supérieur. Mon histoire lui était connu alors il ne devrait pas trop me prendre la tête pour le coup. Je lui présenterai même Lio pour lui prouver que je n'avais pas cherché à faire buissonnière. Il me gueula de prévenir Olivier parce qu'il était incapable de parler sans crier et je raccrochai en lui affirmant que j'allais le faire, enroulant de nouveau mon bras autour de Lio.

-Tu veux manger quoi ?

Je me contentai d'un message pour Olive. Déjà que je le faisais.
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Lun 23 Sep - 12:23


La remarque fit sourire Lio, il la renforçait, donc il la trafiquait, personne ne sent aussi bon, personne. Même si cette odeur était la sienne légèrement là elle les entourait comme une belle coquille, impossible qu’elle ait été naturelle, voilà.

-Ça n’as pas l’air de t’affecté beaucoup, pourquoi tu n’aimais pas ton père ?


Tiens en fait …

-Et moi ? je l’aimais, mon père ?

Parce que là en l’occurrence il ne s’en souvenait pas le moins du monde et n’était pas du tout affecté par sa mort qui n’avait rien d’hypothétique à priori. Bon, au moins il n’avait pas mal pris le fait que lio ne souhaite pas changer de nom, au contraire, il acquiesça. Au fond, le bleu supposait que ça faisait mal mais … difficile de se décider à prendre un autre nom après 14 ans a porté celui là … en fait plutôt 13 ans et 4 mois, au début on l’appelait juste « l’enfant » après on l’appelait « glouton » et finalement puisque son prénom ne lui revenait pas on l’avait appelé Lio, par contre …

-Lio, Stelio.


Ça ne faisait pas si étrange que ça pour le nom, il avait décider longtemps avant qu’il garderait Galen donc probablement que ce serais son second nom, si ça lui était permis.

-Je vais devoir prendre rendez vous avec l’administration ….

Mais il voulait quand même que son frère soit heureux et au fond, même si ça avait du mal a monté pour l’instant … il était heureux lui-même, porté ce nom lui ferait plaisir, savoir enfin d’où il venait… qu’on ne l’avait pas juste… laisser là. Bon, pour l’histoire du démon s’était un peu dommage, ça l’aurait beaucoup amusé.

-J’ai vu un psychologue quelque temps mais même lui n’as pas su trouver mes souvenirs, donc je suppose que j’ai pris un coup dans une quelconque situation.

Le bleu observa le téléphone et souris.

-J’ai donc une mère encore vivante, elle ressemble à quoi notre maman ?

Lui qui n’aimait pas particulièrement les femmes en dehors de sa maman, est ce qu’il pourrait aimer celle-là ? Et sil ne l’aimait pas il se passerait quoi ? Lio sorti son portable, le pointa sur Cymri, pris une photo et la fit parvenir à son père, annonçant qu’il avait retrouver sa famille. Bien sûr, ils allaient devoir leur rendre visite prochainement pour le présenté en bonne et due forme mais bon, au moins les siens pourraient se préparés à la chose.

-Mes parents vont probablement vouloir te rencontrer eux aussi.


Ne serais ce que pour s’assuré que Lio ne se soit pas fait avoir par quelqu’un qui prétendait être de sa famille pour l’attirer dans des ennuis. Ridicule … une bonne brochette de poulet suffisait largement pour ça. Le bleu se leva quand son frère l’invita a déjeuner, et par un réflexe assez inattendu, il pris la main de son frère pendant la conversation, il n’aimait déjà pas voir des gens subir ce genre de choses alors son tout nouveau grand frère encore moins.

-Hum chinois ! Japponnais ! Français !! et une tarte aux pommes.



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Mar 24 Sep - 15:25
-C'est parce qu'il a été stupide que j'ai failli te perdre à jamais. Il pensait pouvoir traverser les monstres en vous protégeant tous les deux sans l'aide de quiconque et le résultat, le voilà.

Plus de petit frère pendant quatorze ans.

-C'était un adulte débile. Pas le genre de personne que je pleure.

Pour faire plus simple. Aucun de nous deux n'avait pu compter sur lui. Aucun de nous deux n'avait mérité ce qu'il s'était passé. Mes heures de désespoir à attendre qu'ils rentrent à la maison, à tomber malade sous les intempéries. Quant à Lio, son errance dans la forêt et tout le reste. Il était heureux qu'il ait été heureux sinon je n'en aurais pas fini d'en vouloir à ce vieux sans cervelle. La question suivante me surpris complètement. Que...

-Oui. Il t'adorait de son côté. Il était persuadé que tu aurais son don à lui.

Je l'observais. Maniait-il la glace ? Nous en parlerions sûrement à un moment donné. En attendant, il marmonna Lio Stelio et ça me fit tout de même un peu bizarre. La seule chose rassurante, c'était qu'il ne reniait pas du tout la famille de sang qui lui restait. Je passais une main dans les cheveux bleus de mon petit frère et je posai un baiser sur son front. Surtout alors qu'il me disait avoir sûrement pris un coup ce jour là dans la forêt. J'avais encore plus envie de le câliner. Même s'il n'était plus traumatisé, Lio avait vécu vraiment une sale journée en ce temps là.

-Oh, c'est vrai que... Attend, j'ai une photo de maman.

Je fouillais mon portable pour lui mettre la tête d'une femme aux cheveux bleu nuit bouclés, aux yeux azur, les yeux de Lio. Même si c'était lui qui les avait eu d'elle en fait. Elle tenait un panier de pommes et montrait une tarte aux pommes. C'était un gag récurrent entre nous. C'était une de mes photos préférées donc, elle était toujours sur mon portable. Je le refermai donc après avoir prévenu Olive pour froncer un peu les sourcils.

-Même si je suis content que tu aies eu des parents, ça me fait bizarre de me dire qu'on a pas eu les mêmes. Mais je comprends, je ferai pareil à leur place.

Pour exploser de rire au final.

-Tout ça ?! Bon alors on va faire chinois. On ne peut pas aller dans trois restaurants en même temps. Pour la tarte aux pommes, je vais faire la même que celle de maman, ce soir. Ça va demander de l'organisation mais je devrais pouvoir faire ça.

Quand même, vivement que j'aie mon nid. Dormir à la caserne, ça devenait lourd. J'emmenai donc mon charmant petit frère avec moi pour qu'il nous montre un restaurant, il devait connaître l'emplacement de chacun d'entre eux, j'en étais quasiment sûr. Et une fois à une table pour deux face à un bon buffet à dévorer, je l'invitai à se servir le premier avant de faire de même. Je finis avec une bonne assiette, commençai à dévorer. Toutes ses émotions m'avaient donné faim, sans déconner.

-Alors... Le vieux avait raison ? Tu manies la glace ?

Je me demandais aussi s'il allait manger ou gober sa nourriture. Dans tous les cas, j'adorerai.

-J'ai pris le pouvoir de maman, je manie l'air. C'est pratique pour cueillir les fruits.

Et par amusement, je lui fis une mini tornade dans son verre d'eau.
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Mer 25 Sep - 17:50


Pas faux, sans doute était ce de la faute a leur père, s’était lui après tout qui avait décidé de partir avec Lio encore enfant et sans la moindre capacité hors de la ville, peu importe combien il avait dû lutter pour pouvoir l’y emmener, il l’avait fait, s’était donc de sa faute. Mais d’un autre côté, s’était triste que Cymri n’ai pas un père à aimer, lui aimait son père, et sa mère, et peut être aimerait il sa seconde mère, surtout si elle faisait des tartes aux pommes aussi bonnes que cela.

-ça n’était pas ma question.

Sans doute que le parent l’avait aimé puisqu’il l’avait emmené et avait été persuader qu’il lui ressemblait contrairement à son premier enfant. Le bleu observa tranquillement son frère en répétant.

-Moi, est ce que j’appréciait notre père ?

Il aimait son père actuel, mais il serait bon pour lui de savoir s’il avait aussi à un moment ou un autre apprécier son géniteur, après tout, ils n’étaient pas les mêmes personnes. Lio observa l’image de la dame, souriant de voir qu’elle aussi avait des cheveux bleutés, comme quoi, la génétique.

-Elle est plutôt jolie.

Pour une femme.

-Elle a l’air gentille.

Elle portait une tarte aux pommes, elle ne pouvait pas être méchante au fond. L’idée d’avoir une famille lui était déjà étrange alors pensé en plus qu’il en avait maintenant deux … ça pourrait donner le vertige. Lio confia son bras a son frère pour le chemin, l’écoutant en serrant doucement.

-Tu n’as pas à t’en faire pour eux, mes parents sont très gentils, mon père est un ancien soldat, et ma mère fait de très bons gâteaux.

Caractéristique principale oui. Dommage, Cymri ne voulait pas faire les trois, pourtant, c’était une faim a trois restaurant qui résonnait dans la tête du bleu. Il marcha tranquillement et pris même place dans le restaurant en restant calme, l’idée de manger cette délicieuse tarte aux pommes lui plaisait, elle lui plaisait même énormément. Une fois prêt, le bleu le plus jeune parti se servir une assiette sur plusieurs étages, ce genre de restaurant regrettait toujours d’être à volonté après son passage.

Il commençait à manger alors que sa première assiette contenait le repas de trois personnes et que les serveurs étaient bouche bée. Son frère recommença à poser des questions, normal, lui-même, avait eut un million de question a poser quand il n’avait personne a qui les soumettre mais maintenant … elles s’étaient toutes envolées… s’était presque frustrant, il observa son verre, la mini tornade et l’eau dedans se gela maintenant cette magnifique tornade mais aussi toutes les petites particules d’eau qu’elle avait balancer autour en suspension. Le tout donnait un très beau spectacle.

-Je peux faire des granités facilement, j’ai aussi détruit une piscine il y a peu.

Pourquoi il le cacherait ? il avait eu sa punition pour ça.

-Je peux la contrôler ou la crée à partir de rien, mais en général j’utilise les particules d’eaux contenues dans l’air.

Pour démonstration, il gela toute l’eau environnante, aucun verre n’était toucher mais tout autour d’eux, des gouttelettes glacées s’était formées et se rassemblaient pour prendre la forme d’un magnifique flocon de neige complexe, il le ne regardait pas, Lio déjeunait et rien n’était plus sacré que manger.

-Mon binôme adore quand je fais des choses comme ça, ça le rend une peu dingue, il les fixes ou il joue avec comme un gosse. C’est marrant.


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Ven 27 Sep - 16:08
-Oui, oui, tu l'aimais. Bien que je ne comprends pas pourquoi tu te poses cette question.

Pour de vrai mais il était clair que Lio réfléchissait d'une manière qui m'échappait présentement. Qu'il doute de l'amour de nos parents, je comprenais, mais qu'il doute qu'il les aimait, beaucoup moins. Son expression face à la photo de notre vieille me rassura un peu bien qu'il me restait un tas d'interrogation. Il me parla de ses parents sur la route et je voulais bien croire que c'était de bonnes personnes. Après tout, il avait recueilli un enfant inconnu, traumatisé et il l'avait rendu heureux. Ça me suffisait pour bien les aimer.

-La nourriture avant tout, hein ?

Et j'avais raison de dire cela vu tout ce qu'il prit en un seul service. Il avait fait une pile ! Je vis la tête des serveurs mais je n'allais pas en dire quelque chose. Si Lio avait faim, il avait faim. Il était doué en tout cas, rien ne tomba et il attaqua avec un plaisir non feint son repas, je le vis bien. Je mangeai moi aussi mais un peu moins vite, ça avait tendance à me ballonner sinon.

Quant à mes réponses. Oui, il avait bien le même pouvoir que notre vieux. Ma tornade n'avait eu aucune chance par contre, c'était joli et je vins effleurer une des billes d'eau congelées.

-C'est cool... Le vieux pouvait faire des trucs comme ça aussi...

Quoi ?!

-Alors c'était toi ? Tu sais qu'on en parle encore même à la caserne ?

J'éclatai de rire tout en soulevant une brochette de poulet dans laquelle je mordis et je frissonnai. Automatiquement, mon vent se fit plus chaud alors qu'il se mettait à neiger autour de nous, sous le regard mauvais des clients et des serveurs. Ça allait finir par vouloir prévenir des Gardiens. Je ris encore, la bouche pleine mais fermée. D'un coup de vent rapide, les flocons allèrent se disperser dans le ciel hors du restaurant et je finissais ma brochette pour passer au reste.

-On garde bien plus une âme d'enfant qu'on veut bien le croire. A nous deux, on pourrait faire des tempêtes de neige. Il faudra y penser s'il n'y en a pas à Noël.

J'adorai la neige à Noël. Dévorant toujours, je vis du coin de l'oeil qu'on avait prévenus les cuisines et quelqu'un écarquillait les yeux avant de retourner à l'arrière. Je dégelai mon verre d'eau pour en boire.

-Pourquoi ai-je l'impression que tu es connu ici ?

Et je lui parlais de notre enfance. De nos vols de pommes, lui sur mes épaules à les cueillir pour ensuite nous enfuir maladroitement avec notre larcin. De nos jeux dans la rivière, combien il s'énervait de ne pouvoir attraper un poisson aussi gros que le mien à cause de ses petites mains. De notre cabane dans le gros chêne qui surplombait notre maison, avec le dessin de nos mains sur l'un des murs de bois. J'allais me resservir entre temps bien sûr. Le retrouver me donner un solide appétit.

-Quant à la chaîne, c'est une drôle d'histoire. C'était le premier cadeau que je me faisais avec mon argent de poche. Ça faisait un moment que j'en voulais une et du coup, toi aussi. J'avais fait un travail pour notre grand mère qui m'avait permis de compléter et tu n'étais pas content que je l'ai en premier.

Je ris un peu en me souvenant de sa tête ce jour là. Ça avait été quelque chose quand même.

-Du coup, tu n'arrêtais pas de me la voler mais comme je connaissais toutes tes cachettes, je la retrouvais toujours. Notre vieille en devenait folle, elle me disait de te la donner et qu'elle me rendrait l'argent. Mais tu n'étais pas d'accord non plus...
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Dim 29 Sep - 4:07


-Je ne ressens rien devant la photo de notre génitrice, ni quand je sais que celui qui m’a donner la vie est mort, alors je veux savoir si je suis devenu froid face a eux, ou si je l’ai toujours été.

Il ne comprenait pas ça ? s’était un peu perturbant de se sentir étranger a celui qu’on était supposé être. Face a une photo de son père ou de se mère il se sentait bien, il sentait son affection pour eux, se souvenait des bons moments, mais face a son ancien lui, a l’enfant qu’il avait perdu, il se sentait juste vide.

-Entendre ton nom m’a fait un truc, mais voir son visage ne me fait absolument rien, je ne me souviens pas d’une quelconque maman, pas plus que d’un papa, ou d’un Cyanio.


Et s’était presque plus perturbant que de se trouver un frère.

-Je peux faire d’autres trucs plus cool mais les patrons vont encore râler si je le fais.

Bien sûr que s’était lui, qui pourrait avoir détruit une piscine si ça n’était lui ? tous les autres étaient si sages … ça en serait ennuyant si ça n’était naturel. Le bleu haussa les épaules, d’un autre côté, il ne l’avait pas fait seul, ne fallait pas exclure celle à cause de qui ça s’était produit.

-Une fille…

On pouvait tellement sentir tout son manque d’intérêt pour cette créature dans ce simple mot.

-Qui est dans mon cours a voulu jouer à m’éclabousser… elle a renoncer après que la moitié de la piscine ai fini dans sa tête.

Trop abréger ? bon ok, il lui expliqua, que s’était pendant un entrainement, que la fille était tombée a l’eau parce qu’elle n’avait pas fait attention, qu’elle avait voulu se venger en utilisant un clone pour lui envoyer de l’eau, qu’il avait d’abord été gentil en lui renvoyant peu d’eau, mais qu’elle avait utiliser des espèces de bracelets a onde de choc pour tenter de l’arroser. Ce qui avait raté parce qu’il s’était fait une protection en V de quoi percer la vague, puis il avait fait un énorme bloc de glace qu’il avait déplacer sous l’eau au plus vite, elle s’était prit la moitié de la piscine dessus et essayait de s’en remettre au moment ou le prof était arriver. Impossible de ne pas rire en décrivant la tête du prof qui voyait ça et leurs excuses aussi pourrit que « c’est elle qui a commencé » et « on n’a pas fait exprès. » Rencontre qui n’avait pas mener bien loin jusque là mais ça avait été sympas sur le coup.

-On le fait chez mes parents, tu viendras le fêter avec nous, ils ont aménagé une pièce ou on met le sapin, ma mère accroche des lumière douces comme des étoiles, mon père rend la pièce plus humide et moi je fais la neige, on joue, on fait des bonshommes de neige, c’est très sympa tu verras.


Quoi, non il n’avait pas le choix s’était une proposition d’acceptation obligatoire.

-On venais ici souvent avec papa, on faisait le concours de qui mangeait le plus, quand j’étais petit il gagnait tout le temps et il choisissait la musique pour un mois, j’ai horreur de ses musiques qu’il écoute… et puis j’ai grandi et j’ai gagner chaque fois.

Parler de tout ça semblait naturel, il n’avait trop rien à cacher à son grand frère et lui souris en l’écoutant raconter toutes ses histoires. Le plus marrant, ou pas, c’est qu’il savait qu’il aurait très bien put faire tout ça mais ne s’en souvenait absolument pas. Lio porta la main a sa chaîne, après s’être resservi, pas question de laisser son assiette vide.

-Je n’avais qu’elle et des vêtements déchirés quand on m’a ramené, et on m’a dit que je ne voulais pas l’enlever, tout ce que je sais c’est que même si elle était trop grande, je ne l’ai jamais quitté, même en me douchant.


Ne pas dériver sur des allusions sexuelles même si s’était tentant ça restait son grand frère m’enfin !

-Bah non, c’est ta chaîne, pourquoi tu me l’aurais donné ?

Bon, il ne lui rendrait pas, mais ça restait la chaîne de Cymri, en plus, en la portant, il avait plus ou moins toujours eut une part de son frère pour veiller sur lui.

-J’aime manger.

Oui il répondait un peu tard.

- j’aime aussi le sexe, la musique, et le sport. Dans cet ordre.

Manger avant tout nan mais.

-Je joue de plusieurs instruments, tu sais jouer toi ?


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Jeu 3 Oct - 15:22
Sauf que c'était normal et que ça n'avait rien de louche. Si ses souvenirs étaient absents, Lio ne pouvait rien y faire. En plus, nos parents étaient toujours très occupés et même si maman prenait le temps de lui raconter une histoire tous les soirs, que papa venait lui faire un bisou, c'était diffus. Il ne comprenait pas à quel point un traumatisme pouvait détruire une âme. Mais il était gentil de vouloir se souvenir d'eux.

-Je pense que ce sera mieux quand tu la rencontreras. Je ne dis pas que les souvenirs reviendront mais tu ne te sentiras pas comme ça.

Et il me raconta donc l'aventure dans la piscine. Vraiment ? Mais quelle idée. Il était normal qu'ils soient punis. Moi, je n'aurais jamais fait un truc pareil. Les ennuis voulaient dire moins de sieste. Et ça, pas question. Le sommeil, c'était sacré, d'ailleurs, je comptais faire un petit dodo après ça, histoire de me remettre de mes émotions.

Je me retins de rire quand Lio m'invita pour Noël. Il n'y avait pas de retour, cela s'entendait dans sa voix. Je serai des leurs et c'était tout. J'espérai juste que maman serait aussi de la partie, la pauvre, fêter Noël toute seule, c'était la loose.

-D'accord, avec plaisir. Je pourrais te faire tous tes cadeaux d'un coup.

Quoi ? C'était pas bien de lui donner tous les cadeaux qu'il avait raté depuis sa disparition ? Rien à faire, il les aura quand même. Je continuais de l'écouter, chacun son tour, et puis ça me permettait de me rattraper sur la bouffe, pas question qu'il mange plus que moi sans que je me batte un peu même si je savais qu'il avait déjà gagné.

-Il doit écouter des trucs de vieux ! Tes oreilles devaient souffrir !

Quant à la chaîne, je trouvais ça incroyable qu'il l'avait toujours. Je l'avais signalé comme ça, je n'aurais pas cru à un tel miracle. J'éclatai de rire quand il me dit qu'elle était à moi. Mais il l'avait porté bien plus que moi. Donc au final, c'était bien la sienne. Ou je lui avais déjà transmis ce que j'avais de plus cher ? Non, mais je blaguais. J'étais à ma troisième assiette, je n'avais pas compté pour lui. J'eus du mal à connecter mais Lio venait de répondre à retardement.

-Oh euh... Dormir, manger, sexer, me reposer. Dans cet ordre.

Je ris en buvant un peu d'eau ensuite, ce n'était pas le moment de m'étouffer.

-Oui, je joue du piano et de la flûte traversière. Enfin, plus de la flûte parce que je n'ai pas souvent de piano sous la main maintenant. Mais comme dit plus tôt, je suis un gros flemmard, donc je ne m'exerce pas souvent.

Je commençais à caler. Et je voyais quand même les gens du restaurant désespérés. Je me massais le ventre en laissant mes couverts de côté, allongeant mes jambes d'un côté de sa chaise. Je bâillais ostensiblement et je m'étirai tout autant avant de l'observer. Lio était incroyable.

-Je suis fier de toi.

Vraiment, pour avoir survécu et continuer. Pour être aussi fort qu'il l'était aujourd'hui. Je m'étirai encore et me passai une main dans les cheveux sans déranger le serre-tête qui tenait mes oreilles de chien. J'avais trop l'habitude de mes petites manies pour les faire tomber à l'eau. Je souris encore, bien plus apaisé que je ne l'avais été ces dernières années, je ne sentais plus d'urgence, tout était réglé, plus ou moins. Je sortis mon portable pour prendre une photo de Lio, la bouche pleine parce que c'était plus amusant comme ça. J'ajoutai des fleurs et je l'envoyai à maman.

-Que fais-tu, cet après-midi ? Je voudrais qu'on reste ensemble mais si tu as des projets, ça se comprend.

En plus, j'étais censé travailler.

-Il faudra quand même que je te montre au capitaine à la caserne, sinon je vais en entendre parler jusqu'à l'année prochaine de tout ça. En plus, il adore me réveiller de mes siestes, un vrai sadique. Ça ne se fait pas de réveiller les gens.

J'étais en train de lorgner vers les desserts quand mon portable sonna. Je regardai le nom.

-Ah, c'est maman...

Je décrochai et la mis sur haut parleur.

-Coucou maman. Et du calme, on est au restaurant, hein.
Cyanio, tu as retrouvé mon bébé...

On entendait les larmes dans sa voix douce, toujours un peu rauque.

-C'est plus vraiment un bébé, m'man. Moi non plus d'ailleurs. Et c'est Lio maintenant.
Vous serez toujours mes bébés... Cyanio... Euh... Lio ?

La vieille voulait clairement entendre sa voix.
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Ven 4 Oct - 15:26


Probablement mais d’un autre côté, est ce qu’il en avait envie. C’est vrai, normalement il aurait eut encore des mois pour se préparé à l’éventualité d’une rencontre, là il tombait directement sur son frère qui lui annonçait qu’en plus il avait une mère, et pour la cerise sur le gâteau il se surprenait a ne rien ressentir pour eux, alors qu’il voulait tant trouver d’où il venait…

-Peut être.

De toute façon, qui il avait été ça n’avait plus trop rien avoir avec qui il était, si ? Bah, il aurait bien le temps de réfléchir a tout ça plus tard, pour l’instant, il profitait d’un moment nouveau avec son grand frère, et le calme.

-Ouai… je n’aime pas du tout sa musique, mais s’était marrant de le voir chanter dessus juste pour m’énervé.

Ah, ça s’était de bons souvenirs, ça en faisait sourire Lio qui mangeait tranquillement sa troisième assiette, comme si elle n’avait été qu’un complément des deux premières.

-Dormir en premier ? pas facile la vie de soldat alors.


Parce que dans sa vie quotidienne peu de chance que le grand bleu ait la possibilité de s’offrir une bonne et longue nuit de sommeil. Enfin peu importe, pour l’instant, le jeune se pris à la conversation, il était même très heureux de savoir que son frère savait jouer de la musique, peut être qu’un jour il lui demanderait de jouer pour lui.

-Je suis inscrit dans le club de musique, il parait que c’est nécessaire pour que notre quotidien, l’entrainement, ne devienne pas trop lourd a porté pour nous.

Bon au fond il comprenait cette idée, l’entrainement était lourd, on perdait parfois son camarade en cours d’année a cause d’un désistement… ça il ne pouvait même que le comprendre, mais quand même, le sexe est un très bon moyen de se libérer l’esprit, pourquoi ne pas en faire un club aussi ? ça pourrait être super rigolo !!

-T…

Bah alors celle là … il s’était attendu a plein de choses mais cette simple petite phrase, ça non. Il observa son beau grand frère. S’était bien la première fois depuis qu’il avait rejoints l’académie que ses joues se mettaient à chauffer, ses grands yeux posés sur son voisin de table, une crevette devant la bouche, il n’était même pas sûr de savoir comment il devait réagir a ça.

-Merci …

S’était ça qu’on devait dire ?

Comment il savait comment l’atteindre ?!

Et puis … pourquoi s’était agréable de recevoir ce genre de compliments de sa part a lui. On lui disait souvent qu’il était mignon, rigolo, charmeur, idiot… mais juste… qu’on était fier, il n’y avait eut que son père et sa mère pour lui dire quand il était entré chez les éclaireurs.

-Je n’ai … rien … de prévu.


Merde, fallait se reprendre là, s’était quoi cette réaction de faiblard, Lio Galan ne réagissait pas comme ça, voilà s’était tout ! il reprit son repas en écoutant la suite tranquillement.

-On peut y aller si tu veux, j’avais juste prévu de m’entraîner comme je suis puni pour quelques jours a cause de la piscine je n’ai pas droit de le faire…


Le bleu avait entamé sa quatrième assiette quand le portable se mis a sonner, il mangeait tranquillement alors que la voix féminine appelait son ancien nom. Clairement non, il n’était plus un bébé, mais bon, au moins la dame avait l’air heureuse.

-Bonjour…

Que dire, non pas moyen qu’il l’appel maman, il avait déjà une maman, elle l’avait élevée et avait pris grand soin de lui.

-Maman 2.

Ouai, s’était bien, comme ça elle ne pourrait pas se plaindre, par contre pleuré clairement qu’elle pouvait, elle ne s’arrêtait pas…

-Comment ça va ?

Oui, s’était particulièrement gênant, il n’avait pas trop l’habitude de parlé a des femmes mais des femmes en pleur en plus … dur dur, consoler une gamine qui chiale ça marche mais une maman ?


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Jeu 10 Oct - 16:20
Non, pas facile la vie de soldat mais au final, elle me rendait service. Pas besoin de se demander si l'on allait manquer de paie, ou d'endroits pour dormir, l'armée fournissait tout. Et même si je détestais les rations, ça servait aussi dans les moments où il fallait tenir une garde donc je ne crachais pas dessus non plus. En plus, on s'entourait de camarades qu'on gardait à vie ou presque en tout cas. Donc, ouais, l'armée, c'était pas si mal et je le lui fis savoir. De toute façon, il allait s'en apercevoir lui-même.

Quant à la musique, je comprenais mieux son intérêt. Même s'il ne se souvenait pas, Lio avait toujours adoré la musique. Il n'avait pas tant changé que ça. En fait, je ne pensais pas vraiment qu'il l'avait fait. Grandir et devenir adulte ne changeait pas l'âme. La vie l'abîmait mais la rendait plus belle aussi. A sa façon, il brillait et j'aimais ce que je voyais. De façon platonique, pas question de baiser mon petit frère, merci, j'avais mes limites.

En tout cas, je venais de bien le perturber, c'était visible. Ça me fit sourire, même si c'était normal, mes yeux brillèrent presque de malice mais comme je le pensais, je ne voulais pas qu'il le remarque aussi, je bus de l'eau.

-Ouais, ce serait vraiment cool de passer à la caserne et de faire une sieste après. De quoi bien digérer et se remettre de nos émotions.

J'éclatai de rire dès le début de l'appel en tout cas. Maman 2 ? Alors celle-là ! Je sentis le choc de la vieille, sans doute qu'elle n'avait pas pensé au fait qu'il avait une autre famille, elle avait juste vu qu'il était en vie, en pleine forme et voilà. Ça aurait été quand même plus simple si elle avait été là.

-Hé, m'man arrête de chialer, Lio sait pas comment le gérer.

Il fallait qu'elle prenne un peu sur elle quand même ou elle allait bêtement le faire fuir.

-Je vais bien. Je suis si heureuse... Cymri, tu avais raison d'y croire... Je suis désolée d'avoir douté de vous deux.
-Que veux-tu, faut que tu t'y fasses, tes fils sont parfaits.

Et notre vieille éclata de rire, ses sanglots se calmaient. Tant mieux, même moi ça me gênait. Je lui donnai quelques nouvelles de plus avec l'aide de Lio. Qu'il était apprenti éclaireur, qu'il adorait la bouffe, qu'il voulait de sa tarte aux pommes. Elle promit d'en faire plein pour lors de notre prochaine visite. Qu'elle trouverait le moyen de venir nous voir. Ça, ce serait plus gênant quand même. Je murmurai à Lio.

-Je peux lui donner ton numéro de portable ?

Et je pus raccrocher environ une minute plus tard. J'allais me chercher des desserts, le temps que mon frangin encaisse autant que moi et je me remis en face de lui.

-Si y'a de quoi, je ferai sa tarte aux pommes à la caserne. Pour le goûter, ce sera sympa.

Je gobai un bébé éclair.

-Alors, tu as déjà affronter des monstres ?

Forcément, il fallait bien qu'on tombe sur ce sujet aussi.
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Ven 11 Oct - 15:42
…  


Lio n’avait jamais eu de doutes là-dessus, a part la nourriture, il savait que l’armée avait beaucoup de choses pour elle. Il écouta quand même en souriant de constater que son frère était d’accord, surtout pour les repas, ça le fit même rire. Jusqu’à son annonce des plus perturbantes, un tout petit coup d’œil du bleu lui avait suffi à voir que Cymri avait été ravi de son effet, en même temps, Lio n’avait jamais eut ce genre de compliment venant de sa famille, pas de sa famille biologique, quoi de plus naturel que d’être agréablement surpris.

-Une sieste ? Pourquoi pas.

Après tout il pourrait dormir, il serait tout près de son frère et s’il n’y arrivait pas… bah il ferait en sorte de s’entrainer là ou ils avaient l’habitude de le faire, il ne perdrait pas de temps comme ça. L’air de rien, il avait eu beaucoup d’émotions lui aussi et s’était déjà parti pour s’aggraver vu l’appel qui suivit. La dame pleurait et clairement le fait qu’il l’appel maman 2 n’aida pas, mais, il avait une maman, et il l’aimait sa maman !

-si je sais ! je ne suis… pas habituer à ce genre de situation au téléphone c’est tout.

Non, s’était totalement faux mais il n’allait pas le reconnaitre devant son nouveau frère ou sa maman, il ne voulait pas déjà perdre la fierté de Cymri. Oui, le reste du monde aurait put le prendre pour un crétin associable, il n’en avait jamais rien eut à faire mais pas Cymri, ni sa maman 2, ils étaient sa famille biologique et ils n’avaient pas renon…cer.

Lio eut presque l’impression de prendre un coup dans le ventre là, sa propre maman avait renoncer et s’était persuader qu’il était mort… Elle n’aurait pas dû… sentir qu’il était vivant ? ou au moins, garder un peu d’espoir ? comme Cymri ?

-Parfait ?

Ce concentré là-dessus oui, il aurait bien le temps de pensé a tout le reste plus tard, pas vrai ? Le plus jeune continuait de manger en accompagnant son grand frère dans ses informations, glissant aussi les siennes, il était un bon élève, et il ne dormait que dans sa chambre, même si parfois s’était dur. Ah et il était très sportif, il lui cita une bonne partie des clubs de sport qu’il avait fait avant de partir par ennuis, il jouait aussi de la musique, pleins d’instruments… Lui-même n’aurait pas imaginer avoir tant de choses à dire s’il retrouvait un jour un membre de sa famille. En même temps, il avait eu le temps de s’imaginer un tas de choses, même avoir été abandonner parce qu’on ne voulait simplement plus de lui, donc il avait pensé qu’il retrouverait quelqu’un ou pas, qui lui dirait pardon mais on ne pouvait pas te garder …

-Oui, bien sûr.

Ça lui éviterait d’avoir l’air idiot tout a l’heure en lui demandant s’il pouvait l’avoir. Maintenant qu’il avait trouvé une maman, il n’allait pas dire non pour avoir un moyen de la contacter.

-Bonne idée !

Une bonne tarte aux pommes !

-Je cuisine très mal.

Autant le prévenir aussi, il adorait manger, mais cuisiner était hors de ses capacités.

-Je n’ai jamais rien fait de mangeable, même sans cuisson.


Et ça ne le gênait pas le moins du monde.

-Hum des profs principalement et … aussi parfois pendant certains entrainements mais je suis prêt pour ça, j’y travail depuis longtemps.

Depuis qu’il était tout petit et avait décider de devenir soldat.

-Je manie principalement l’arc, la glace me permet de maintenir l’ennemis a distance et en me débrouillant bien, je peux exposer mes reflets dans des blocs de glace, ça éloigne les créatures dangereuses et ça me permet d’attaquer.

Lyo fini sa septième assiette en se tapotant le ventre, ça s’était un bon repas !

-Je n’aime pas tuer des créatures, alors je ferais surtout en sorte de les mettre dans l’incapacité d’attaqué si c’est possible.


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Lun 14 Oct - 20:25
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