Une école où les élèves sont répartit par duo et doivent cohabiter
 
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Rencontre savoureuse (Mara Greyfell)
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Sam 27 Juin - 20:02

Les tables collées et entassées, les chaises soudés et pivotantes contre les tables, les barres de néons au plafond. Le Self aujourd’hui accueille des kiosques : asiatique, mexicain, moderne, cruauté-free, fruits de mer, etc. L’odeur fait même venir les agents administratifs. Ainsi, le Self bat son record de personne présent en ce jour. Des fils se sont formés devant les kiosques et presque toutes les chaises sont occupées. Certains ont même décidés de manger dans les marches du pensionnat pour avoir une place où s’assoir afin de profiter de leur met préférés.

Les voix et la bonne humeur fait écho avec l’énergie et la faim. En cette belle journée chaude, seulement la brise ou l’air climatisé soulage ceux qui espèrent la fin de la période d’évaluation, avec son stress et ses révisions.

Anotnio s’est réveillé tardivement durant son cours. La cloche l’a encore une fois réveillé. En se frottant les yeux encore un peu cernés, il pense que la sieste d’après-midi en classe d’éthique sera parfaite pour finir son sommeil. Il quitte la classe, son sac sur l’épaule. Il se gratte la tête, ses cheveux déjà en bataille reprennent leur place docilement. Un T-shirt bleu marine rafistolé suite à de nombreuse chute porte l’emblème d’un étrange message rouge vif signifiant « C’est un beau jour pour mourir » dans le langage fantastique klingon, mais cela, le brun l’ignore. Il a simplement acheté ce vêtement dans une boutique d’occasion. Son pantalon gris de lin et de coton est lui tombe sur les chevilles.

L’odeur, comme pour beaucoup d’étudiant, le conduit jusqu’au Self où son ventre grogne d’être ainsi agacé par ce mélange de parfum épicés, sucré, amer, sanguin, salé, acidulé, etc. Détournant son regard, il attrape son « repas » préparé lui-même de son sac. Il sort d’un papier d’aluminium écrasé des morceaux de viande séchés de 10 cm de long. Il s’en glisse quelques ’unes sous les dents pour endormir sa fringale. C’est dur et le goût de la fumée du bois vert se sent bien sur sa langue.

Il remarque alors une belle file d’attente bien compacte, les gens semblent de bonne humeur et leur attention est tournée vers le kiosque où le cuistot fait une démonstration de ses compétences. Ce genre de spectacle culinaire semble plaire aux gens des villes, pense alors Anto qui s’approche. L’occasion lui semble parfaite. Une foule de gens avec de l’argent sur eux qui regarde ailleurs, c’est trop tentant pour ne pas essayer!

Sa première victime est un grand gars, sans doute un terminal, avec son portefeuille dans les poches de son chandail à capuchon. La partie facile est de prendre, sans regarder, le portefeuille et d’en alléger le contenue de 3 ou 4 rubis. Puis la partie la plus compliqué : remettre en place l’objet.
La dernière chose qu’Anto désire, c’est bien que les gens d’ici se mettent à se méfier! Par la suite, c’est deux femmes en tenue de travail. Leur bourse sont ouvertes en plus! Le garçon se dit qu’à ce niveau, c’est femme demande à être volé! La récolte continue ainsi, jusqu’à arriver proche d’une fille que son oncle qualifierait de « mignonne ». D’un coup d’œil, Anto pense qu’elle doit être en cinquième ou quatrième année. Elle a un visage de poupée, de long cheveux argenté et un habit en sombre. Cherchant du regard, il remarque qu’une poche semble être occupée, il en conclu qu’elle doit avoir de l’argent là. Ainsi, il avance ses doigts vers elle, mais ça ne se passe pas comme prévu. Soudainement, le mec derrière lui bouge et bouscule pour voir la scène du feu. Le voleur qui voulait avoir les doigts léger et indétectable se retrouve soudainement projeté vers l’avant, la main entrant directement dans la poche arrière du pantalon de l’étudiante. Il découvre sans autre forme de préliminaire la forme charnue et sa chaleur.
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Lun 6 Juil - 17:21

Smith
Antonio

Greyfell
Mara

「Rencontre savoureuse」
Mara regarda autour d’elle en soupirant légèrement. Elle tenta de se réconforter en se disant qu’il faisait beau et qu’elle allait manger quelque chose de délicieux, si elle se fiait à l’odeur, mais ça ne marcha qu’à moitié. Vraiment, elle était de mauvaise humeur, elle n’y pouvait rien.

Il faut dire qu’elle sortait d’un cours de math, donc elle ne pouvait techniquement pas être de bonne humeur. Elle avait fait l’effort d’assister à l’intégralité du cours, pour, comme à chaque fois, ne pas comprendre un tiers de ce qui était expliqué et ressortir avec l’impression d’être totalement débile et d’avoir perdu une heure de sa vie.

Elle s’était dirigée vers le self pour le trouver bondé. Evidemment, ses amis étaient déjà confortablement installés dans un coin avec le nouriture, et elle qui détestait attendre se retrouvait à faire la file toute seule . L’enfer. Regardant les gens autour d’elle, elle essayait de trouver de quoi s’occuper en attendant.

Le gamin qui s’amusait à faire les poches aux gens autour l’avait fait vaguement sourire. Elle aurait presque pu être à sa place, pour ne pas dire qu’elle avait fait exactement là même chose il y a quelques années. Mais il n’attira pas son attention plus que ça. Heureusement, il y avait un espèce de show au kiosque qu’elle avait choisi, qui lui permettait de faire passer le temps. Ce n’était pas passionnant, mais ce n’était pas comme si elle avait mieux pour se tenir occupée.

Tout à coup, elle sentit comme… Qui venait de poser sa main sur elle exactement ? Sa main partit presque toute seule en une gifle pour la personne qui se tenait derrière elle. Elle n’était pas vraiment du genre violente, mais là ce fut son premier réflexe. Ce n’était pas non plus comme si le coup allait tuer qui que ce soit. Ce serait plus le genre de claque qui fait du bruit mais qui ne fait pas réellement mal. Donc en fin de compte, c’était surtout pour le principe.

-  Te gênes pas surtout


Mara, toujours toute en diplomatie. Pour être honnête, elle n’avait même pas cherché à reconnaître la personne avant de réagir.  Le fait que ce soit le petit voleur ne l’attendrit d’ailleurs pas le moins du monde. Ce n’est aussi qu’après coup qu’elle se rendit compte que le gamin avait la main à l’intérieur de sa poche et non juste posée. Il essayait donc juste de prendre son portefeuille… De toute façon, elle ne pouvait pas changer sa réaction. Il serait probablement bien assez content qu’elle n’ait pas compris immédiatement et alarmé les gens autour.
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Lun 6 Juil - 21:15
Sa première pensée, fut qu’il venait de se faire repérer pour le vol, lorsque le son de la claque retentit. Il se fige, sous la surprise. Il ne pense pas à enlever sa main, tant la réaction de la jeune fille est vive et loin de ce qu’il est habitué. Normalement, les gens crient, le menace et l’exhorte à leur rendre leur argent…

Il a un regard sur le côté, quand il remarque que les gens ont tourné la tête vers eux. Non… Non, il n’y a pas d’accusation de vol. Il dévisage la fille devant lui. Les trois neurones d’intellect encore en état de fonctionner dans la tête d’Antonio cherchent rapidement une échappatoire… et sa meilleure source de solution avec les femmes lui vient d’un de ses oncles. Alors il ramène sa main vers lui. Tout sourire et se retire l’air surpris du visage, pour un air innocent.
Sa main droite vient derrière sa tête pour se masser la nuque dans un air faussement désolé.


- Ha ha, pardon ma belle mignonne, je n’ai pas pu résister.


Dans la ligne d’attente, devant le kiosque où le chef continue de cuisiner avec grand spectacle, Antonio sent de l’animosité autour de lui. Il ne sait pas pourquoi, mais la réponse semble mal passé… L’un des gars semblent même se tendre, comme s’il avait été insulté… Quoi, ça ne se dit pas à une fille ici ?
Anto se dit que c’est peut-être bon que dans les bars. Qui sait?

Pour éviter plus de problématique et surtout pour être oublié par la populace rapidement… sinon, son petit « retrait commun » risque de devenir très compliqué s’il est reconnu et fiché pour une broutille. Il dit alors à la demoiselle, sans doute dans la quatrième année aussi, vu combien elle semble jeune.


- Laisse-moi t’offrir le dessert pour me faire pardonner ?


L’esquive est jetée. Si elles acceptent, Antonio espère que les sédentaires vont cesser de le regarder et que ça sera oublié… Si elle accepte, bah, au moins, il aura une échappatoire. Puis, il y a rien de plus normal selon les adultes que des jeunes de même âge existent dans le même plan social durant un temps… Du moins, le temps pour « s’excuser » non? En plus, la fille qui vient de le gifler est la personnification du sucre, donc un dessert devrait être acceptable.
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